Document Type

Article

Publication Date

9-1-2008

Department

Languages and Literatures

Abstract

Un trait caractéristique de plus en plus visible dernièrement dans l’écriture migrante québécoise, dont Ying Chen est une représentante de marque, est sa déterritorialisation: à la différence de la littérature de l’immigration des années 1980, piégée entre l’ici et l’ailleurs, l’écriture migrante contemporaine aborde des problématiques comme la quête identitaire sans avoir besoin de repères géographiques fixes. Cet article se propose de suivre la métamorphose de l’écriture de Ying Chen depuis Les Lettres chinoises jusqu’à Immobile (1999), vu que les romans les plus récents de cette auteure ne nomment plus de façon évidente l’espace de cet entre-deux scriptural (comme les premiers romans), mais ils le donnent à lire davantage.

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This article was originally published in Voix Plurielles, 5(2): 73-79.

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